« Julie Goussot est un Roitelet au timbre coloré, délicatement fruité, à la voix épaisse et bien projetée, tel le son doux d’une flûte à bec. »
Olyrix – Janvier 2022
« le délicieux Roitelet de Julie Goussot au timbre prenant et au souffle long. »
Resmusica – Janvier 2022
« Tandis que Julie Goussot (ancienne stagiaire de l’Opéra Studio) offre un délicieux Roitelet, justement remarqué à l’applaudimètre. »
Concertclassic – Janvier 2022
« Schlüssig hingegen wirkte Huffmans Aufwertung der Partie des „Zaunschlüpfers“: Als Wiedehopfs Sekretärin hatte Julie Goussot auf der Bühne nicht nur körperlich einiges zu tun, sondern verschaffte der Partie mit ihrer kräftigen, lyrischen Stimme vor allem musikalisch eine wunderbare Präsenz. »
Opern.news – Janvier 2022
« Le Roitelet au timbre corsé de Julie Goussot, très à l’aise en scène dans le rôle de secrétaire du roi/manager qui lui est dévolu, se différencie avec élégance des pyrotechnies du Rossignol »
Forumopera – Janvier 2022
« Der Zaunschlüpfer, Bote des Königs Wiedehopf, wird von der zierlichen Sopranistin Julie Goussot einprägsam und mit einer leichten hellen Stimme geträllert. Eine wahre Botschafterin der Sehnsucht und des Frieden! Das zeigt sich besonders in ihrer Arie des ersten Akt: „O weh, o weh, zwei Vogelfänger… » »
Ioco – Janvier 2022
« La soprano Julie Goussot, lauréate ex aequo du Grand Prix, déjà 1er prix de Mélodie Francaise et d’opéra en 2021 au Concours International de Chant de Marmande, dont les interprétations nous saisissent par la place que l’artiste laisse à la tradition, dans la plus fidèle continuité des maîtres du genres avec une parfaite diction française et un sens aigu du phrasé. »
Odb-Opera – Novembre 2021
« La française Julie Goussot, soprano (Axinia) a également été récompensée au concours Cesti 2020 (Prix Jeune Talent). Son premier air, E quella, quella, accompagné par le seul clavecin, met en valeur son timbre aérien aux agréables aigus nacrés. On la retrouve avec plaisir à l’acte III pour un Son più dolci, qui illumine une beuverie généralisée des femmes. »
Baroquiades – Août 2021
« Die Frauen sind jede auf ihre Weise stark: Julie Goussot als Axinia ist eine noch minimal kindliche Quertreiberin. »
Concerti – Août 2021
« Passaggi penetranti ed eloquenti per il soprano Julie Goussot in Axinia e buona scansione del ritmo drammatico. »
Bluarte – Août 2021
« Le donne sono ognuna brava a modo suo: Julie Goussot, soprano francese come Axinia è abbastanza poliedrica nel drammatico e nel comico. »
Operaincasa – Août 2021
« Récompensée par un Emerging Talent Prize, Julie Goussot fait chatoyer la sensibilité fruitée d’Axinia, la fille de Boris. »
Première Loge – Août 202
« Les accomplissements de ce spectacle sont également musicaux, grâce à de très jeunes artistes pleins de promesses : Julie Goussot fait valoir un instrument davantage lyrique que léger, d’une rare égalité sur l’ensemble de la tessiture. Les graves sont ronds et sonores et les aigus s’envolent sans problème, sans que soit à aucun moment rompue la beauté et la qualité de la ligne. Cette voix fraîche et fruitée forme un agréable contraste avec la mezzo Elsa Roux-Chamoux. »
Olyrix – Juin 2021
« Julie Goussot interprétait plusieurs rôles dont la vendeuse de fraises, de dentelles et la baladine…. La soprano de l’Opéra Studio que j’avais déjà entendue dans Parsifal et Hansel und Gretel, a chanté avec beaucoup de naturel, de fraicheur et d’engagement et une voix au timbre très agréable. »
Odb-Opera – Avril 2021
« Tandis que la gourmande Julie Goussot et l’allègre Damian Arnold (notamment) représentent avec classe l’Opéra Studio de L’OnR.»
Opera Online – Avril 2021
« Julie Goussot as the unnervingly seductive Strawberry Seller. »
Bachtrack – Avril 2021
« Mais c’est surtout parmi le vivier que constitue l’Opéra Studio qu’ont été choisis les interprètes de figures épisodiques comme la vendeuse de fraises, … : si brève que soit leur intervention, on remarque la voix prometteuse de la soprano Julie Goussot. »
Concertclassic – Avril 2021
« Julie Goussot, également couronnée par un Emerging Talent Prize, laisse progressivement s’épanouir la finesse de la musicalité d’une vocalité discrètement feutrée, que l’on retrouve dans le Voglio amare du Partenope de Haendel, et fait songer parfois aux débuts de la carrière de Sandrine Piau. »
Toutelaculture – Août 2020
« Les Filles-Fleurs au nombre de six (Francesca Sorteni, Anaïs Yvoz, Marta Bauzà, Julie Goussot, Michaela Schneider et Claire Péron) offraient, dans un acte II d’une intensité souvent insoutenable, un long et très agréable moment de détente grâce à une profusion de mélodies chantées avec des voix délicieusement séductrices et un accompagnement orchestral d’une grande sensualité. »
Odb-Opera – Février 2020
« Issues de l’Opéra Studio de l’Opéra National du Rhin, les trois voix (Agnieszka Slawinska, Julie Goussot et Eugénie Joneau) laissent augurer de belles choses dans l’avenir. »
Wanderersite – Octobre 2019
« Les voix d’Agnieszka Slawinska, de Julie Goussot et d’Eugénie Joneau s’accordent idéalement, claires, colorées et articulées, pour donner vie à ces créatures légères, dépourvues d’âme. »
Forumopera – Octobre 2019
« L’Opéra du Rhin fait confiance aux artistes (actuels ou anciens) de son Opéra Studio, dont sont issus tous les seconds rôles. Les trois nymphes, Agnieszka Slawinska, Julie Goussot et Eugénie Joneau, sont bien ensemble et proposent un chant vif et expressif, un jeu scénique impliqué et rehaussé par un remarquable mélange de timbres. »
Olyrix – Octobre 2019
« Sans pour autant ne pas connaître de moments de vrai bonheur : ainsi grâce aux trois nymphes, Agnieska Slawinska, Julie Goussot et Eugénie Joneau, qui forment un trio savoureux. »
Olyrix – Octobre 2019
« On retiendra en particulier la charismatique Louise de Julie Goussot, au timbre savoureusement velouté.»
Toutelaculture – Mars 2019
« On remarque aussi la voix généreuse de Julie Goussot en Louise. »
Concertclassic – Mars 2019
« Julie Goussot déploie en Louise une belle et opulente voix d’opéra. »
Concertonet – Mars 2019
« Excellents la Louise au timbre corsé de Julie Goussot et son partenaire le Sam d’Olivier Gourdy, couple ancillaire du couple aristocratique. »
Musicologie – Mars 2019
« Très attentu, le prix du public récompense, avec une heureuse justice, la soprano Julie Goussot, à la prononciation excellente dans l’Enfant prodigue (Debussy), puis très émouvante dans la mort de Liù (Turandot). Les aigus sont bien en place ainsi que les nuances. »
Anaclase – Septembre 2017
« On regrette l’absence de la soprano Julie Goussot, dont la musicalité concentrée, dans « Embroidery aria » tiré de Peter Grimes et « Il est bon, il est doux » de Massenet nous avait profondément séduit. »
Forumopera – Juin 2017